Départ de Bidarray vers l'Harriondo que nous contournerons.
Le temps est doux et l'humeur des 9 randonneurs au beau fixe.
Nous prenons le GR à droite du refuge, la promenade est buccolique, nous le quittons bientôt pour prendre à gauche un sentier jaune.
Ça grimpe bien, régulièrement, les pauses pour admirer le paysage nous permettent de reprendre notre souffle.
Jolie vue sur Bidarray puis au fur et à mesure sur, l'Harriondo, les crêtes d'Iparla, l'Irubelakaskoa, les Penas d'Itxusi, l'Artzamendi..
En contre- bas coule une des Bidassoa et au loin on distingue un village abandonné.
Les couleurs automnales nous enchantent, les enclos de pierres marquent la main de l'homme.
Les vautours fauves tournoient.
Arrêt déjeuner avant les sommets, un peu écourté par les premières gouttes. Nous avons quand même le temps d'apprécier le beaujolais nouveau.
Retour par un autre sentier un peu boueux et empierré, ça glisse, mais arrivés au parking le soleil nous nargue.
Pour nous remettre de ces 11 km et 552m de dénivelé, nous faisons une étape café, chocolat...
Très belle randonnée. Merci à Jacques. Marie-Claude M.
12 randonneurs au départ du col de Pinodieta pour en principe aller au Gorospil . Ce programme ambitieux, compte tenu de la distance et du vent, ne sera pas respecté. Ce sera pour une autre fois.
Nous sommes accueillis par un vent violent et froid, alors que nous nous sommes préparés à une douceur presque estivale.
Qu'à celà ne tienne, nous nous lançons énergiquement sur la piste puis à travers les pâturages, en luttant contre les bourrasques.
Nous optons pour des contournements en espérant un peu de répit.
L'Erreby, le col des 3 Croix, l'Atxulegi par un joli chemin à flanc de montagne, avec vue sur la côte , le Mondarrain à notre gauche.
Pause banane au bord du chemin.
Chemin faisant nous arrivons à la Borda Erriko, où nous laissons un petit groupe profiter du soleil.
Nous continuons vers l’ Aboze et les crêtes par un sentier assez raide et parfois boueux, à travers les broussailles.
Nous sommes récompensés par la vue vers la Rhune et les monts plus lointains en Espagne, d'un camaïeu de gris, de bleu …
Il est temps de descendre rejoindre nos camarades, par la piste cette fois, pour un déjeuner bien mérité, qui, sur des chaises sorties de la Borda, qui par terre.
Nous avons le temps de la détente avant que le temps légèrement menaçant nous incite à reprendre la piste du retour, avec une petite variante.
Nouvelle montée, puis nous redescendons tranquillement vers les voitures, après, à la louche, 16 km et 750 m de dénivelé .
Merci à Carmen pour cette belle sortie. Marie-Claude M.
.2 grosses poires juteuses .100 g de chocolat noir .125 g de poudre d'amandes .100g de beurre .100g de sucre .3 œufs
Préparation.
1. Mettez la pâte dans le moule et piquez-la à l'aide d'une fourchette 2. Cassez le chocolat en morceaux et faites-les fondre au bain-marie. 3. Préchauffez le four th.7 (210'C). 4. Pendant ce temps, faites fondre le beurre et travaillez-le avec le sucre.
Ajoutez la poudre d'amandes et les oeufs, 1 par 1. 5. Epluchez les poires et découpez-les en fines tranches. 6. Etalez le chocolat noir sur la pâte, recouvrez d'une légère couche du rnélange précédent et disposez les poires 7. Recouvrez les poires avec le mélange précédent et répartissez bien le tout. 8. Enfournez pendant 30 min.
ou plutôt un ruisseau fougueux aux eaux cristallines, l'Aritzacun.( Regata de Aritzacun).
Défections en série … Agapes différées, mais randonnée maintenue, dans la " Valle de Oro" . ( Paraît-il qu'il y avait des mines autrefois).
Après avoir passé le Pont d'Enfer et longé l'étroite route qui s'enfonce peu à peu dans la vallée encaissée dominée par le Zargambide, les Penas de Ichusi et la masse pyramidale de l'Irubelakaskoa, nous laissons les voitures au-dessus de la ferme Bassassagar où des canidés quelque peu agressifs tentent de nous intimider.
La piste cimentée plonge brutalement et traverse le cours d'eau au niveau de l'ancienne venta Xumus. Pas de truites en vue depuis le pont...
Les sommets escarpés nous volent le soleil du matin, un petit vent vif souffle en rafales, bonnets et blousons ne sont pas superflus.
Nous cheminons d'un bon pas sur cette large piste, en sous-bois le plus souvent avec parfois de magnifiques points de vue sur les Penas, véritables cartes postales où le roux des fougères contraste avec le vert des pâturages, le tout dominé par des falaises abruptes et des cheminées de fées, domaine des vautours fauves.
La ferme Berekotxea que l'on peut louer pour un séjour "nature" attire les regards par son authenticité et sa situation exceptionnelle.
Notre piste grimpe en douceur maintenant et le soleil vient nous réchauffer.,
A 11h 30, nous arrivons au "village" d'Aritzacun, trop tôt pour le pique-nique, d'autant que nous avons fait la pause "banane" peu avant.
Nous rallongeons quelque peu la balade, histoire de ne pas s'attabler à une heure de "retraités".
Une toute petite heure plus tard nous voici revenus dans ce hameau qui comportait une trentaine de maisons disséminées dans la montagne et dont l'école a fermé en 1967.
Un banc de pierres judicieusement construit au bord du cours d'eau, un muret, quelques marches...que peut-on rêver de mieux pour profiter du soleil, se restaurer, et passer un très bon moment ensemble.
Pas de palas ni de pelotes un défi au fronton ; nous repartons sur le même itinéraire après avoir admiré le four à chaux, en très bon état de conservation, et nous être posé quelques questions, pour le moment sans réponses, sur son fonctionnement.
Deux petites heures de marche plus tard, nous voici aux voitures, après avoir parcouru douze kilomètres.
Il est trop tôt pour rentrer ; on se verrait bien partager un verre au bourg de Bidarray, là haut au soleil … mais nous sommes les seuls touristes et tout est fermé. Repli chez Noblia où un autre groupe nous rejoint bientôt ...
Heureusement qu'ils ont les groupes de randonneurs dans les petits villages !
Encore une belle randonnée automnale ; merci à notre binôme de guides Mado et Carmen. Claudine A.
Une très belle journée s'annonce et nous pouvons enfin faire la randonnée prévue la semaine dernière et … tombée à l'eau au sens propre.
Départ du parking de Herboure, au début de la route du col d'Ibardin, devant la boulangerie installée dans l'ancienne douane.
Nous commençons par un agréable sous- bois, puis un sentier à flanc de coteau qui nous fait passer devant quelques belles maisons.
Nous montons pour arriver au lac d'Ibardin, longé puis traversé sur le barrage. Quelques carpes effectuent des plongeons et des petits poissons frétillent.
Passés sur l'autre rive, nous grimpons à nouveau à travers bois, il commence à faire chaud, la pause banane à l'ombre est la bien venue.
La montée devient de plus en plus raide, le lac nous fait un petit coucou à travers les branches, de magnifiques houx sont couverts de baies rouges.
À l'arrivée au col nous sommes récompensés par la vue sur Vera, la Bidassoa, Fontarabie, St Jean de Luz. ..
La Rhune toujours présente, nous montre sa face rocheuse.
Le chemin de crêtes nous conduit doucement vers la descente pour trouver notre lieu de pique nique, au soleil, sur l'herbe, à l'abri d'une ancienne bâtisse en ruine.
Repas et petite sieste pour les amateurs
Nous reprenons la crête pour monter tranquillement vers le Mandalé puis redescendons à travers bois et pâturages pour passer au dessus des ventas d'Ibardin.
Nous rejoignons la piste, avec la vue sur l'autre rive du lac, par un sous-bois touffu.
Puis nous descendons tranquillement vers notre point de départ par la forêt. Dans une basse-cour, un coq manifeste bruyamment sa présence.
Arrivés très contents de notre journée après 15,20 km et 615m de dénivelé.
En ce beau jeudi de novembre, à défaut de nous emmener « au bout de la terre, au pays des merveilles », Anita nous proposait de retourner sur les hauteurs de Bidarray pour gravir la crête du Zarkambidé.
Nous partîmes 18 mais par un prompt renfort, nous nous vîmes 21 en arrivant à Olhatia, le départ de la randonnée.
Les débuts prirent l'allure d'une aimable promenade sur un chemin descendant en pente douce au cœur d'une forêt aux couleurs automnales mais, très vite, passé le ruisseau qui marquait le point le plus bas du parcours (230 m)
il fallut se rendre à l'évidence que « la montée très raide » promise par Anita était certes « sans danger » mais plus que « très raide ».
Si, comme à son habitude, Mado traçait loin ( suivie de près par l’auteur de ce texte. MS. ) devant pour, soi-disant, prendre des photos d'ensemble mais aussi afficher sa forme resplendissante, la colonne de randonneurs ne tarda pas à s'étirer, quelques-uns ( quelques-unes ?) éprouvant le besoin de s'arrêter plus souvent qu'à leur tour pour, officiellement, admirer un panorama à couper le souffle et, officieusement, retrouver le leur.
Dieu des randonneurs merci, toute montée même la plus sévère a une fin et, après les retrouvailles au Zelhaiburu (cote 670) avec un trio ayant préféré un itinéraire plus doux, la joyeuse équipe se retrouva sur le GR 10 qui, à cet endroit, longe la frontière franco-espagnole
L'heure de la pause pique-nique était alors venue. Un plateau rocheux, non loin d'une bergerie devant laquelle des pottoks somnolaient, fit l'affaire pour accueillir la troupe.
Après avoir mis à profit cet arrêt pour rappeler le séjour « loisirs » qu'organise Bayonne Accueille du 17 au 22 juin prochains à Camaret, dans un village VVF, Anita donna le signal du retour. Il en était fini des montées abruptes et des difficultés. Très vite, le sentier rejoignit un large chemin en terre carrossable survolé par des vautours qui, lui-même, se transforma en route bitumée.
Quelques rencontres improbables avec d'autres groupes randonneurs, des ânes et un cochon un peu dissipé et pas du tout sauvage égayèrent la fin du parcours.
Des randonnées automnales comme celle-là avec un si grand soleil et des paysages grandioses, on en redemande !
Dénivelé : 650 m, distance : 12 km. Jean-Philippe R.
Le temps est mitigé mais malgré tout propice aux randonneurs. Le groupe de 14 démarre du col d'Olathia pour se diriger vert le plateau vert.
Nous commençons par une montée en forêt de chênes, châtaigniers, hêtres, bouleaux … par une petite route puis un sentier.
Première halte près d'une grande bergerie et à l'abri du vent où nous faisons une petite pause bananes et autres …
Nous reprenons le sentier pour déboucher sur le plateau vert, ses belles couleurs d'automne, vertes et brunes, et ses à-pics.
La vue se dégage vers les sommets voisins, Artzamendi, Mondarrain, Ursuya, Baïgoura et même au loin les pics d'Orhy et d'Anie enneigés.
De l'autre côté l'océan est aussi visible.
Nous cheminons à flan de montagne où nous rencontrons des pottoks et un chasseur au loin.
Un nombre étonnant de bergeries sont en ruine.
Le vent nous dissuade de tenter la montée au sommet de l'Artzamendi, nous trouvons donc rapidement un abri derrière des rochers pour nous restaurer.
Pas de sieste pour les amateurs, nous prenons donc le chemin du retour, avec une petite variante qui nous permet d'admirer un beau canyon et de deviner le sentier pour une prochaine randonnée.
Nous redescendons tranquillement vers les voitures.
Après 550 m de dénivelé et 10,500 km environ, en pleine forme, nous décidons de faire une sympathique halte boissons au café au pied du village de Bidarray.
Très bonne randonnée automnale, merci à Anita pour ce choix.
Marie-Claude M.
Vallées dans les nuages.
Quelques sommets émergeant.
Brouillard sur le flanc à grands virages.
Belle clarté sur l’autre versant.
Bleu du ciel … Blancheur de la mer de nuages ...
Admiration … Contemplation …
Dans nos têtes graver ces images ...
Le temps s’arrête …
La montagne en habit de fête …
De retour, dans la voiture d’Olivier, Mado précise que son GPS affiche une distance de 13 km alors que celui de Jacques marquait 11,5 km. En réalité, après avoir interrogé mes jambes, celles de Michel et d’Olivier, elles ont unanimement affirmé un ressenti nettement supérieur. Il faudra bien, un jour, que les GPS fassent la différence comme pour les températures entre le kilométrage réel et le kilométrage ressenti. Il est vrai aussi que pour moi, c’était une reprise.
Journée exceptionnelle pour une fin d’octobre et beau parcours pour les 10 volontaires ( 6 F et 4 H ).
Montée sans aucun problème par une piste sèche ou se mélangent l’ocre de la terre et la rouille des feuilles desséchées. Pas l’ombre d’un champignon mais quelques châtaignes …
Notre seule rencontre se situera à la Borda de Saroixarreko où 2 magnifiques paons attendent le passage des randonneurs et quelque nourriture. Ils ont si bleus, si chatoyants tous les deux que nous n’avons pas su dire si c’était un couple. En réalité, ce sont 2 mâles …. C’est une règle chez les gallinacés ( et autres ). Les mâles sont toujours plus beaux que les femelles !
Grimpette jusqu’au col d’Harrieta ( 803 m ) par une piste ardue, ravinée par endroit, mais sur laquelle, les nombreuses racines qui affleurent le sol, constituent de véritables marches d’escalier.
En haut, à l’arrivée sur le col, magnifique vue et vent très marqué nous obligeant à nous mettre à l’abri, alors que, les 3 plus courageux, sous l’impulsion d’une Mado ... , graviront les 200 m supplémentaires pour atteindre le sommet du Toutoulia.
Repas tranquille pour les autres avec vin de Bergerac ( Jacques ), gâteau aux poires ( Monique ) et chocolat ( Maïté ).
C’est toujours le même refrain : les grammes que l’on perd en montant sont tout de suite récupérés avec ce que l’on mange.
La descente se fera par le versant du Larrarte.
En conclusion, magnifique journée, beau parcours, belle reprise.
J‘aurai mal aux jambes demain.
12 km. 636 ou 836 m de dénivelé. Jean-René B.
2 voitures, 3 randonneurs dans chacune, se sont garées non loin du fronton, parking de départ pour la randonnée du Mondarrain et plus, éventuellement. Cela dépend du temps.
Carmen nous mène.
ESCONDRAY.
Montée habituelle. L’Escondray est à notre droite,
MONDARRAIN.
le Mondarrain devant nous.
Nous passons par les tourbières. De la boue et quelques pierres ...
Puis, en face, Grand mur de l’Artzamendi …
MONDARRAIN.
Col entre Mondarrain
OURESTI.
et Ouresti.
Nous continuons le chemin vers Zuharreteako lepoa à l'extrémité de la crête que l'on voit. Nous bifurquons à gauche pour prendre le passage rocheux qui nous permet d’atteindre le sommet de l’Ouresti, plutôt herbeux. 690 m. Nous traversons toute sa crête sommitale.
Nous redescendons vers le col et rejoignons le groupe de Sylvie bien installé sur une roche plate. Papotage …
Les 16 randonneurs se dirigent vers le sommet du Mondarrain. Montée directe pour certains. Contournement pour quelques-uns.
Le vent souffle très fort ….. Quelques photos cependant avant de descendre un peu plus bas piqueniquer dans les rochers cherchant leur protection pour moins de ventilation.
Retour. Pluie et orage étant annoncés, nous ne restons pas traîner. Les 2 groupes ne font plus qu’un et reprennent, du retour, le chemin.
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Blog des randonneurs de l'association " Bayonne Accueille ", heureux de se retrouver une ou deux fois par semaine et de partager le plaisir de la rando dans ces si belles montagnes basques.